C’est la première fois, depuis qu’il a quitté la tête du CNG, que Dr Alioune Sarr va être honoré pendant trois jours. Et Les Arènes a saisi l’opportunité pour donner la parole, aux fins de témoignages, à d’anciens collaborateurs du fils de Fatick.
Colonel Babacar Diouf, ancien président de la CRD et Trésorier général du CNG
« Un très bon musulman, un excellent père de famille »
« Pour avoir cheminé avec lui pendant 15 ans dans le CNGL, je peux dire du Président Alioune Sarr que c’est un très bon musulman, un excellent père de famille. Il suffit de voir ses rapports avec ses enfants pour s’en rendre compte. Le Docteur Alioune Sarr est un brillant intellectuel et un dirigeant exemplaire doté d’une capacité d’écoute et de prise de décision hors du commun. Sur le plan social, rares sont les composantes de la lutte qui n’ont pas bénéficié de ses largesses, surtout sur le plan de la Santé. Il mérite amplement les hommages du monde du sport, et surtout celui de la lutte. »
Ibrahima Sarr, ancien Directeur Administratif du CNG
« Il personnifie l’intégrité, l’honnêteté et le sens du partage »
« Alioune Sarr est un homme entier : il ne triche pas. C’est un homme multidimensionnel avec un sens aigu des responsabilités, du management et des relations humaines. Il personnifie l’intégrité, l’honnêteté et le sens du partage. »
Ambroise Sarr, coach équipe nationale de lutte sans frappe
« Un très bon manager »
« Je vais commencer par prier pour toi et le groupe Les Arènes pour le travail extraordinaire que vous abattez. Alioune Sarr et son équipe du CNG avaient la chance de regarder dans la même direction et de parler le même langage. Il y avait une parfaite entente entre eux. Et Alioune Sarr était un très bon manager. Avec le DTN Abdou Badji et le responsable des arbitres Khalifa Sow, j’entretiens d’excellentes relations. C’est le propre du sport. Dans cette équipe-là, chacun, de son côté, faisait en sorte que les choses marchent et que les résultats suivent. »
Thierno Kâ, ancien chargé de la Communication du CNG
« Il n’a jamais changé de comportement ou de façon de faire »
« Nous étions tous les deux au lycée Van Vo. Nous étions aussi dans la même association UASSU. Lui pratiquait le hand-ball, moi je jouais au football. Tous les jeudis, on se retrouvait en regroupement avant que chacun aille pratiquer sa discipline. Une bonne personne. Depuis 1962, nous sommes ensemble. Ce n’est pas rien. Il n’a jamais changé de comportement ou de façon de faire. Et ses propres parents disent exactement la même chose de lui. »
Abou NDOUR