Après le stage de formation qui s’est tenu au CNG, du mercredi 16 au vendredi 18 mars 2022, un des responsables des coaches, Aliou Bâ, revient pour donner ses impressions de ce conclave de 72 heures.
« Tout s’est bien passé »
« Nous rendons grâce à Dieu et remercions le CNG qui nous a fait bénéficier de cette formation. Ceux qui avaient déjà le diplôme d’animateur-initiateur sont passés au 1er degré. Je remercie particulièrement le président Bira Sène, qui s’est beaucoup investi dans cette formation. Je n’oublie pas le Directeur administratif Ndiamé Diop, le DTN Khalifa Sow, Boune Abdallah (Souleymane Boun Daouda Diop, Président la Commission règlement et discipline, ndlr), Guebel Dièye (le médecin), Bafa Guèye (coach national adjoint), Isabelle Sambou (pour la lutte olympique), Sitor Ndour (président de la CCA). En définitive, tout s’est bien passé. »
« La lutte a besoin de coaches formés »
« Auparavant, il n’y avait pas de restauration. Cette fois, tout cela a été pris en charge. La lutte a besoin de coaches formés pour être dans les normes. Quand on ne sait par où commencer et par où terminer, on ne doit pas avoir de lutteur sous sa responsabilité. Malheureusement, aujourd’hui quiconque crée une écurie et se met à dérouler. »
« Quand la formation se sera complètement terminée… »
« La qualification, c’est important. Ceux qui ont font le 1er degré devront retourner pour un 2e stage de pratique. C’est pour faire une évaluation pratique avec Khalifa Sow. Aussi, il y aura une cérémonie de remise de diplôme quand la formation se sera complètement terminée. »
Abou NDOUR