« Les productions de certificats médicaux à quelques jours d’un combat préparé depuis plusieurs mois sont en train de ternir l’image de notre sport national. Cette pratique qui a suscité beaucoup de commentaires et de désagréments durant ces dernières années n’honore pas la lutte en général », lit-on dans la circulaire 008/2023 du 13 Septembre 2023, signée par le Président du CNG de lutte.
En conséquence, « désormais, après la signature du contrat de lutte au CNGL, tout lutteur malade ou blessé devra obligatoirement se présenter auprès de la commission médicale pour suite à donner. Aucun certificat médical outre que celui délivré par le Président de la commission médicale du CNG de lutte ne sera accepté ».
Publier des circulaires pour légiférer est une chose. C’est même bien. Mais se donner les moyens de faire respecter lesdits textes est une autre chose. Et c’est bien mieux.
Cette affaire des certificats médicaux récurrents est une vraie affaire. Et nombre parmi eux sont des certificats médicaux de complaisance. Alors, le CNG est tenu de trouver une solution. Sauf que ce n’est pas la première fois qu’une décision dans ce sens est prise.
Abou NDOUR