« C’est un sujet assez complexe car le règlement est clair. Il peut même y avoir plus de deux galas en même temps… Maintenant, je pense que, sincèrement, ce sont les promoteurs qui peuvent régler ce problème en faisant preuve de compréhension entre eux. Sinon, des situations comme cela se répéteront à l’avenir, au détriment du perdant. On a essayé de faire une médiation ainsi que d’autres personnes pour trouver une issue heureuse à ce problème. Mais Ousmane (Ndour) n’a rien voulu entendre. J’ai respecté son choix et lui ai souhaité un franc succès. Mais je savais que, compte tenu de la conjoncture difficile, la plupart des amateurs ne peuvent pas suivre deux galas le même jour. Résultat : ils étaient presque tous à Iba Mar Diop. Moi, j’ai des solutions pour régler ce problème. Mais il faut que tous les promoteurs y adhèrent pour que cela puisse marcher. Et, aussi bien la lutte simple elle-même, les amateurs et les promoteurs en sortiront grandis », confie Mamadou Diakhaté alias Diak’s, qui est le premier promoteur en lutte sans frappe ces dernières années, en termes de sommes globales injectées dans la discipline.
Abou NDOUR