« … Le respect et la maitrise des horaires de la lutte fait gagner à tout le monde l’estime, le respect et la confiance du peuple, surtout des mécènes capables d’accompagner promoteurs et lutteurs », peut-on lire dans une circulaire du CNG, datée du 20 octobre 2022 et signée par le Président Bira Sène. Circulaire qui énumère un certain nombre de raisons qui doivent imposer un certain comportement.
Minuit comme délai limite
« Pour toutes ces raisons, nous invitons tous les acteurs de la lutte au strict respect des heures prévues pour la tenue des spectacles de lutte, qui ne peuvent plus démarrer avec du retard ou aller au-delà de minuit. »
Sanctions : jusqu’à 5 ans de suspension ferme
Et Bira Sène de rappeler que « l’avenant signé entre le promoteur et le CNG/L requiert le respect scrupuleux de tous les points qui y sont consignés », et qu’ « en cérémonie de face-à-face, aucun lutteur, sous aucun prétexte, n’a le droit de toucher son adversaire. Tout contrevenant à la présente mesure est passible (en sus d’autres sanctions déjà prévues) à une sanction pouvant aller jusqu’à cinq (5) ans de suspension ferme ».
Abou NDOUR