Depuis un moment, le CNG de lutte s’adresse directement au promoteur Luc Nicolaï pour telle ou telle autre affaire. Mais doit-il en être ainsi ?
Ses démêlées avec la justice, suite à l’affaire dite du Lamantin Beach, ont eu des répercussions sur son statut de promoteur. Voilà comment, conformément aux textes du CNG, Luc Nicolaï ne pouvait plus avoir de licence en son nom propre, mais plutôt en celui de la structure Luc Nicolaï and Co. Et, même s’il a eu une liberté à la suite d’une grâce présidentielle, Luc continue de subir les contrecoups de cette affaire de drogue dans laquelle il a été cité.
Dans ces conditions, le promoteur peut-il et doit-il être un interlocuteur valable pour le CNG, aussi longtemps que ladite est au nom de son fils Willy ? Ceci expliquant cela, le promoteur peut-il, ès-qualité, discuter avec le CNG et son président ? Même si la structure Luc Nicolaï and Co a effectivement une licence, Luc est-il la personne indiquée pour parler au CNG, même en tant que mandataire ?
À moins que les choses aient évolué entre-temps et que le promoteur ait changé de statut.
Abou NDOUR