Pendant que le Niger multiplie les compétitions d’envergure, que le Togo vient de terminer des stages de formation pour arbitres et autres techniciens, que d’autres pays comme le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire réfléchissent sur des politiques de relance de la lutte, le Bénin n’est pas en reste. Mais alors pas du tout. Quelques semaines seulement après le Championnat national (28-30 décembre 2021) qui avait réuni 14 clubs et environ 42 lutteurs, voilà que le Bénin accueille une délégation de taille pour aider au développement de la lutte. « Je reçois le Président de l’Union des Fédérations Francophones de Lutte et le Directeur technique de cette même Union, pour un séjour de deux semaines. L’objectif est d’aider la Fédération à trouver beaucoup de partenaires pour accompagner tous les mouvements et toutes les activités au niveau de la lutte. Il y aura beaucoup d’audiences avec des ministres, des partenaires et tout. On aura alors deux semaines un peu mouvementées au Bénin », nous explique le Président de la Fédération béninoise de lutte (FEBELUTTE), AZIFAN Yves.
Abou NDOUR