Si Ibrahima Sarr explique que feu Serigne Modou Niang fait partie des hommes du monde de la lutte qui l’ont marqué, Malick Ngom a aussi tenu à faire des confidences sur le défunt. Et le Secrétaire général de la Commission Centrale des Arbitres (CCA) parle du promoteur avec une certaine émotion. « Que c’est mal de voir ce Grand Monsieur Serigne Modou Niang partir à jamais. À l’image de beaucoup de lutteurs qu’il a promus, la première fois que j’ai sifflé un combat de lutte, c’était lors d’une de ses éditions (drapeau Souleymane Ndéné Ndiaye de Guinguinéo). Je peux dire qu’il m’a permis de prendre goût à l’arbitrage. Et depuis lors, on a gardé de bons rapports. Chaque évaluation-bilan de fin de saison des arbitres, Mouniang mettait la main à la poche pour soutenir le corps arbitral. Que Firdawsi soit sa demeure éternelle ! »
Abou NDOUR